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Edito

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Une vie dense pour un corps qui pense

8 avril 2011

avril 2011 : en oubliant rien, même pas MPTA.

Une vie dense pour un corps qui pense

« La danse est à la fois un fait social et un langage. Son histoire se confond avec celle de chaque personne et celle de l’humanité elle-même. La danse est un des langages privilégiés à travers lequel il est possible de se représenter et « penser » son existence, son origine et son devenir. Un corps qui danse est donc, inévitablement, un corps qui pense. »
Peter GOSS – danseur, chorégraphe et pédagogue

« dance, dance, otherwise we are lost »
« dansez, dansez, sinon nous sommes perdus »
Pina BAUSCH

La lumière se fait plus vive, puis vient la musique. ON SE DEPLIT, les mains, les pieds et la tête aussi, on prend conscience de son propre corps / ON S’ÉCHAUFFE et on commence à BOUGER / ON MARCHE, d’abord doucement, en équilibre sur un fil ou bien ancré sur une longue route… / ON POSE le pied à plat ou sur la pointe ; ON RESSENT alors les vallons, les plateaux, les pentes, les montées, les côtes et les descentes…/ Quand soudain un obstacle ! on l’évite ou on décide de l’affronter, on le contourne ou on l’escalade, ON GRIMPE, ON RAMPE, finalement ON LUTTE avec lui et aussi avec nous-même / Juché sur un simple rocher, on se sent alors puissant, maître des éléments, ON TEND les bras, LÈVE une jambe et SAUTE, comme ça, d’un coup,… d’un seul coup… / On poursuit la route, on change de rythme, on commence à COURIR… / Enfin très vite, quand le jour fait place à la nuit, ON TOMBE de fatigue, on cri même parfois de douleur, ON SENT le corps qui s’éteint… en attendant le lendemain.
Vous l’avez sans doute compris quand on vit, on danse toujours !
Nous sommes tous danseurs – des danseurs de notre temps, des ‘êtres contemporains’ – de ceux qui s’expriment avec leurs propres vies, cultures, valeurs, opinions ou engagements… Des acteurs concernés qui bougent en créant et menant ainsi leur propre danse !

De fait, par envie et par besoin , nous sommes tous emmenés à nous exprimer – consciement ou non – par le corps , pour sentir le monde qui nous entoure, en envisageant ainsi un lien entre le dedans (soit nous, notre corps et nos sensations) et le dehors (soit les autres, les objets et les événements) et pour parvenir finalement à considérer un tout.
… Mais si danser, était tout simplement établir un lien, comme une continuité de signes, poser une démarche, pour faire ressortir du sens et concrétiser le tout dans un projet particulier qui nous est proche et que l’on incarne presque ?

En effet, créer une pièce contemporaine, avec ses codes et ses variations libres, … ni comme ci, ni comme ça … : c’est avant tout permettre une confrontation ou une rencontre entre la danse et la non danse, pour pouvoir aboutir aux mouvements pour exprimer les sensations, les émotions, nos revendications !

Toutefois, pour être compris, il faut parfois penser ou laisser son corps penser, danser , se laisser vivre au rythme d’une vie bien remplie. Ce mois-ci, il s’agit d’écrire un nouveau concept, pas après pas, le Zen News entre dans la danse :

  • Coté Zoom : Invitation à comprendre la danse dans l’espace public et ses multiples formes, lieux d’expressions et de surprises ! Qu’est-ce qui motive aujourd’hui les danseurs à s’aventurer dans des « lieux délaissés », rues, parcs, et autres paysages urbains… ? C’est la question à laquelle nous essayerons de répondre.
  • Coté Veille : Facebook peut parfois danser au rythme des posts pour rendre compte des faits passés… « C’est vrai qu’en avril, il y a de quoi bouger » ! (-> agenda).
  • Côté Coeur : Place à l’oeuvre de la chorégraphe Robyn Orlin ou à « l’irritation permanente »… Traduire la réalité difficile et complexe de l’Afrique du Sud avec un formidable appétit qui emporte tout.
  • Portrait(s) du mois : Pourquoi un et pas plusieurs ? pourquoi d’autres et pas moi ? pourquoi écrire au lieu de danser ?… avec Abou Lagraa, Anthony Egéa, Ex Nihilo, Michèle Noiret… entre performance et histoire intime, chaque portrait sera unique en son genre. Voici 5 « Autoportraits » (joués à Bordeaux au TNT, le 5/04/2011).
  • Perspectives : Maintenons le cap sur le CAUE de la Gironde…

En avril, à quoi sert d’avoir une vie dense ?…
Sans doute à se rapproche de l’être

 » A mains nues, nous marchons les yeux fermés
vers l’être que nous sommes. »
Joseph Noiret, peintre, poète et critique surréaliste

Zoom

1 janvier 2011

Janvier : une autre idée du lien

2011, en connexion…

D’heure en heure, de minute en minute, de train de train, le temps passe et nous évoluons… Et oui, ça y est, nous commençons une nouvelle année :
attachez vos ceintures, nous sommes désormais en 2011 !

Loin du bug de l’an 2000, c’est toute une décennie que nous abandonnons, avec néanmoins l’envie de découvrir une suite… Composer une suite, une musique, chacun la notre, de celle qui part d’un désir intérieur ou d’une improvisation personnelle pour s’intégrer finalement dans une oeuvre collective à construire ensemble.

En 2011, « Voca People » :
la comédie musicale extraterrestre arrive enfin jusqu’à nous
Cependant, à l’aube d’une année qui s’ouvre, nous ressentons également, l’envie de rester fidèle à nos idéaux, à nos fondamentaux, en ayant envie de croire que « le bon vieux temps commence aujourd’hui ».
En gardant tout, en ne reniant rien, en quittant le bien pour aller vers le mieux, ce renouveau qui nous pousse à agir davantage, en restant proche de ce que nous sommes, proche de nous et surtout proche de vous… En un mot : EN CONNEXION !

Une connexion qui nous invite évidemment à donner du sens à la multiplicité des échanges :

Des échanges sociaux souvent portés par les enjeux politiques de notre société (des actions publiques concernant notamment la solidarité, la jeunesse, l’aménagement du territoire ou encore l’environnement…) illustrant tant de domaines qui interagissent dans un esprit de développement durable, en constituant déjà de nouvelles idées d’avenir.
Des échanges technologiques pleinement incarnés désormais par le web 2.0 ( services centrés sur l’utilisateur ), lv’âge d’or des réseaux sociaux (facebook, twitter, viadeo, link…) ou encore le bust de la géolocalisation (procédé permettant de positionner un objet, personne ou information sur un plan ou une carte à l’aide de ses coordonnées géographiques)… Toutes ces innovations qui envisagent de nouveaux modes de relations entre l’homme et la machine.
Des échanges communicationnels qui, au delà de la relation directe, touchent l’ensemble des vecteurs d’information et évoluent à la vitesse de la lumière au rythme des usages, des humeurs, des perceptions… au delà des mouvements, des images et des mots.
Des échanges culturels visant à développer notre curiosité au travers de nombreuses interventions artistiques dont : le spectacle vivant (le théâtre, la danse, la musique…), les rencontres et conférences (café-archi, débats d’idées, conversations…) , l’univers de l’image (peinture, photographie, cinéma, vidéo…).
L’ensemble de ces échanges doivent permettre la connexion dans un système global et ce mois ci dans un programme total…

  • … qui ZOOM sur le passé : En jetant un rapide coup d’oeil sur le Zen News en 2010 ; rappelons-nous qu’on n’est jamais jugé sur un bilan, mais toujours sur sa capacité à se projeter dans l’avenir.
  • … qui VEILLE sur un futur proche :
    côté DOC : en publiant et partageant des documents avec l’application « Calaméo« .
    – côté Com : en fréquentant toutes les muses au hasard de l’art grâce à l’application « Musée google eart« .
  • … qui vit le présent, avec COEUR : entre « Somewhere » et « Au-delà« , comment se porte le cinéma ?
  • … qui n’oublie pas les autres mais propose le PORTRAIT DU MOI(S) : avec Dominique GAUZIN-MULHER, architecte et théoricienne du développement durable, rédacteur en chef du magazine « Ecologik » (sur l’architecture et l’urbanisme éco-responsable).
  • … qui croit à d’autres PERSPECTIVES : en janvier 2011, de l’idée au projet… du projet à la réalisation… le conseil reste une mission fondamentale pour le CAUE de la Gironde – cf. journal n°8.

« Le Zen News vous souhaite une bonne et heureuse année 2011
au coeur d’un système en connexion
où il reste bon de lâcher sur l’accessoire
pour ne pas transiger sur l’essentiel. »

Zoom

1 décembre 2010
Decembre 2010

 » What do you want for Christmas ?

just a biscuit !  »

What do you want for Christmas ?”. -Andy MILLER, 2009

Cette année j’y ai réfléchi, et face à l’angoisse de ne rien avoir à répondre, j’ai choisi d’adopter un air désabusé. Ainsi, sous un look de vieux dandy anglais, à la question : « What do you want for Christmas ? » je n’hallucinerai pas, je ne serai même pas surpris… Aujourd’hui, je réponds directement : « just a biscuit ! »… Mais pourquoi cette drôle de réponse ?


Un biscuit cru, cuit ou doré :

au moins trois bonnes raisons de le commander,

trois bonnes manières d’avoir plaisir à l’offrir.

« Le Haka Ka Maté des cookies »

Recevoir un « biscuit cru » peut paraître dénué d’intérêt, …

… pourtant le cru c’est la pâte, la combinaison d’ingrédients fondamentaux qui construit.

Si nous étions nous-mêmes des « biscuits crus », comme des âmes vives ou des corps nus ? Au quotidien nous nous immergeons, nous nous imprégnons de mille choses extérieures. Avec le temps, nous durcissons, nous nous fortifions en prenant bien garde à ne pas vieillir, pour ne pas devenir immangeables.

Alors, si ce cadeau nous parait cru, c’est aussi un merveilleux potentiel, car le biscuit cru est le seul que l’on peut transformer, retravailler ou changer : il s’agit pour nous d’évoluer pour ne pas rassir au yeux des autres !

Enfin, avec ou sans biscuit, être cru, être vrai, apparaître honnête et sans banalité, plus près du nu que du très habillé, est comme un riche cadeau proche de toutes les vérités.

Heureusement pour nous, au matin de Noël, c’est souvent « biscuit cuit » qui sera nous attendre, dans nos souliers garnis, après la longue nuit…

En effet, il apparaît comme le plus beau des cadeaux pour celui qui a su attendre, sans broncher au milieu du conflit, sa « ration de biscuit ». Il peut aussi être une délicate attention pour celui qui, comme Alain Gerbeault, peut continuer à se nourrir presque uniquement de biscuits, nourriture de corps et d’esprit à « la poursuite du soleil« .

Certes, « biscuit cuit » peut également paraître désuet, tellement la joie est courte juste de le déballer, souvent lorsqu’on le mange vite sans l’apprécier… Mais c’est ce biscuit là qui reste le plus fragile : nourriture consistante à mouiller et piler, surtout pas le casser, quand après la cuisson viendra l’heure de le rouler… A l’image d’un ouvrage de porcelaine cuit au four laissé dans son blanc mat, sans peinture ni couverte, nous sommes parfois biscuit face aux aléas de la vie…

« Elle vendait des petits gâteaux » de Felix MAYOL, 1919

chanté par Barbara avec une pensée pour Camille…

Aussi bien cru que cuit, nous pourrions, sur lui, avec cette chanson, maintenant avoir tout dit, en passant sous silence les désirs ou envies de tremper son biscuit…

Or, c’est là que de bons matins on pourrait très bien rencontrer le train des trois fameux rois mages portant de délicieux et fins biscuits dorés : présent suprême réservé uniquement aux plus sages d’entre nous. Mais, attention car si la vie n’est pas un biscuit, pour les plus chanceux il faut donc toujours se méfier de cette surprise dorée qui comme une friandise à regarder peut aussi bien s’avérer être un danger à éviter.

Ouf ! ! ! La féerie de Noël nous donne un temps de pause, une trêve de fin d’année où il nous est permis de profiter de l’insouciance, le tout en plongeant la main dans une énorme boite de biscuits, de toutes les couleurs, de toutes les formes :

  • En forme de Zoom : à la fin d’une page nous nous demandons ce qui nous motive à passer à la suivante. De même, une année qui se termine peut nous emmener à décrire ce devenir qui nous pousse à agir (billet d’humeur).
  • En forme de Veille, couleur « DOC » : cap sur « l’architecture modulaire : une nouvelle aventure avec Aquitanis » – Rosa Parks + Sylvania – (retour sur la conférence Arc en Rêve, du 18 novembre 2010).
  • En forme de Veille, couleur « COM » : retour sur le forum des études et des métiers de la communication (le 16 décembre 2010 à l’IUT de Tours) et sur le dernier Cap Com 2010 (les 1 et 2 décembre 2010 à Reims).
  • En forme de Coeur : A Bordeaux c’est enfin Noël, entre plumes et goudron, cirque et agitations, Roméo & Juliette, cotillons et trompettes : la culture est au coeur de la fête !
  • Un Portrait du Mois en forme de quoi ? Assurément en forme de choux, s’il fallait dresser le portrait de l’homme à la tête de choux – coeur de Gainsbourg, voix de Bashung, corps et entrechats de Gallotta. (du 9 au 11 décembre 2010 au TNBA – Bordeaux).
  • Perspectives entre gâteau et cadeau : découvrez « Maisons de Gironde, tome 2 », dernier opus de la collection « Architectures et Paysages de Gironde ». Un ouvrage co-édité par le CAUE de la Gironde et le Festin. (lancement le 4 décembre 2010 à Bordeaux).

Et si cette année les cadeaux c’étaient tout simplement nous

« Nous sommes des biscuits cassés de la boîte à gâteau

De vrais marginaux dans cette longue énigme

Attention à ne pas nous écraser, dans ces mains affamées

Attention à ne pas nous presser,

dans cette belle histoire d’amour »

joyeux noël

Zoom

14 novembre 2010

Novembre 2010
« de l’hiver à l’automne, moi je veux être pété de rire ! ! ! »

Les souvenirs sont là, présents…
… pour le reste :

Bienvenue chez Peter Pan !

Au fond, pourquoi disons nous : « quoi de plus beau que le regard d’un enfant » ?… Peut-être parce qu’il parait pur, neuf et naturel ou « non dénaturé ». Paradoxalement, cet enfant est encore vide d’expérience !
Bientôt, il grandira et en répondant à une théorie essai-erreur, il écrira une histoire, se construira un vécu et gagnera ainsi sa propre expérience.
Bien évidemment sa croissance, son développement physique et son épanouissement moral le rendra plus fort, plus réfléchi, avec une réelle autonomie d’acteur stratégique : il aura désormais les armes pour construire sa vie.

« Devenir grand« , la Grande Sophie, 2006 Toutefois, en grandissant, en gagnant en maturité, l’enfant sera aussi moins spontané : il connaîtra alors les doutes, l’incertitude, les peurs… et bien d’autres sentiments. Des sensations étranges, fruits de cette même croissance : le remords, le regret, les obligations (celles liées à la morale, au cadre social, au rapport à la norme…).Ainsi, si la croissance de l’être et « l’âge de l’homme« , contribuent à fixer les fondamentaux d’une société normée, ne serait-il pas plus intéressant de pratiquer le lâcher prise ? Pour cela peut-être pourrions-nous puiser dans nos souvenirs et retrouver seulement l’enthousiasme de l’enfance. Il s’agit juste de s’appuyer sur cet âge d’or , celui où tout reste possible, celui où nous pouvions imaginer, celui où nous pouvions croire et celui avec qui il nous est toujours possible de croire…

Mais si le retour à l’enfance est un étrange pari, s’il traduit la complexité d’un défi quotidien, il suppose également un choix clair et définitif : faut-il rester jeune pour ne pas grandir, stagner et ne pas évoluer ?… ou au contraire,… faut-il plonger dans l’enfance pour se ressourcer et revenir pour oser créer ? Difficile de le savoir !


Au fond cette jeunesse endiablée nous permet de percevoir la vie différemment, en nous démarquant, ou à l’image de ce programme, en marquant les autres d’une étonnante singularité :

  • Coté Zoom : Si le pays imaginaire naît souvent des rêves d’enfants, la ville et son image ont aussi leur histoire et leur désir utopique. (Autour d’ « Imaginaire de la ville », Conférence CUB Métropole 3.0 – mai 2010).
  • Veille Doc : la Compagnie Montalvo Hervieu revient avec « La la la Gershwin« , un hommage dans un univers jubilatoire, ludique et poétique mêlant danse et projections vidéos. (20 octobre 2010, Théâtre Femina, Bordeaux).
  • Veille Com : Etat des lieux sur l’innovation 3D, question de communication ou défi de générations ?
  • Côté Coeur : avec dans les yeux les étoiles du Cirque Eloize, découvrez une « ID » vraiment géniale – une parenthèse ludique, jeune et urbaine, des lieux de danses, de rencontres, de passages, un monde de graffiti perdu entre break dance et hip-hop – . (12 & 13 novembre 2010, Olympia d’Arcachon).
  • Portrait du Mois : Sous fond de remaniement, depuis quelques jours la Ministre ne répond plus ! ! ! Mais avant de partir, Rama Yade a quand même souhaité écrire une « lettre à la jeunesse« .
  • Perspectives : à travers son journal n°7, le CAUE répond à sa mission de sensibilisation en vous invitant à « apprendre à voir plus loin ».

Zaz, « je veux« , 2010L’enfance ? oui, mais dans la réalité c’est plutôt :
« Bienvenue dans ma tribu
On est mieux sous mon tipi que dans le carré VIP.
Entre nous ! C’est pas tordu.
Y’a pas de Sioux !… Entendu.
Dans ma tribu, on est nature avec nos poteaux…
Avec nos poteaux sans torture. « 
Za7ie

Non classé

4 octobre 2010
Octobre 2010

« Au nom des autres…. »
« Je vous avoue
qu’il m’est venu l’idée
d’écrire sur moi !…
« 

Pourquoi faire ?… Pour sans doute permettre le »mois du moi » ; au delà du simple élan narcissique, pour réfléchir, se rappeler et se retrouver… Pour retourner à l’essence même de ce qui fait « moi » et arriver à concevoir que l’information comme la communication s’intéressent à l’humain, l’individu ou la personne : l’intérêt qui invite à aller vers « toi » avant de revenir à « moi ». Se souvenir que porter un regard sur soi, c’est avant tout comprendre l’autre, intrinsèquement, dans son ensemble, au coeur même de son rôle social et sociétal.

Ainsi, être ici « au nom des autres », c’est essayer de comprendre chacun, car l’analyse du « je » se défend et se décline très souvent à travers le « nous ».


« … Je crois pourtant
que j’ai tout le temps
pensé à vous ! »
« Poursuivre les efforts, surmonter les épreuves,
trouver la stabilité ne se fait pas tout seul… »

Croire que le « Zen News » aurait changé de cap, en devenant plus personnel, voire plus intime pourrait être une erreur. Outre le fait, qu’il soit naïf de penser que le choix de dédier un tel support à l’info-com est totalement objectif – la position du chercheur est toujours plus ou moins teintée d’intérêts personnels -, l’idée d’évoquer la possibilité du « moi » peut tout à fait renforcer le sentiment du « nous ».

C’est d’ailleurs ici que nous nous retrouvons, dans une démarche plurielle que NOUS souhaitons collective et collaborative, à travers ce tout nouveau programme du mois qui évite de sombrer dans la contemplation mais essaye de répondre à la promesse d’un « intime collectif » :
  • Côté Zoom : comment considérer ou/et réconcilier l’espace urbain entre les autres et moi ?… Si c’était tout l’enjeu de la ville de demain : « la ville créative entre le local et le global« . Retour sur la thèse de Frédéric Martel, écrivain journaliste, présent le 7 octobre 2010 au Rocher Palmer dans le cadre du cycle de conférences « Bordeaux Métropole 3.0 » organisé par la CUB.
  • Côté Coeur : Et si nous partions en Australie ou quand la blogosphère se met une nouvelle fois en route : « Odile, Pierre et Biloute into the wild… » C’est notre coup de coeur du mois et nous leur souhaitons bon voyage !
  • Côté Com : découvrons ensemble de nouveaux acteurs : AQUINUM, l’association des professionnels du numérique en Aquitaine.
  • Côté Doc : « Patrimoine, numérisation et accès aux savoirs » : quand l’innovation dynamise la diffusion et la médiation du patrimoine immatériel (écrit, son, image et image 3D). Retour sur le colloque Ecla / AEC du 21 octobre 2010.
  • Portrait du mois : entre design, programmation et construction, découvrons de « superficial surfaces » qui peuplent l’univers de Lorenz DEXLER, paysagiste berlinois de l’agence TOPOTEK 1. Retour sur la conférence organisée par « Arc en Rêve » dans le cadre de la manifestation de « PanOrama 2010 » en octobre 2010, en Gironde.
  • Perspectives : Cap sur « l‘urbanisme durable : une nouvelle façon de penser le projet d’aménagement » avec le CAUE de la Gironde – Journée d’information du 6 octobre 2010 -.

Solo piano de Tigran Hamasyan

« Si seul est souvent rien,
ensemble peut être tout.
Qu’on se pense sans lien,
ou encore riche de vous.
Chacun peut choisir bien,
ou courrir comme un fou :
si c’est pour une bonne cause
vibrer au nom des autres ! »
Non classé

9 septembre 2010

Septembre 2010

« Aujourd’hui, savoir juste revenir ! »

C’est la fin des vacances !

Le vent souffle, l’air est frais… nous en arrivons à penser que c’est peut être ça l’éternité. Pourtant, si chaque pause comporte sa propre fin, il faut se confronter à la réalité, la trêve de l’été semble belle et bien terminée.

Devant nous…, un océan de possibles, des défis à relever, des obstacles à franchir… et notre volonté ! En effet, c’est seulement parce que nous voulons embarquer, parce qu’il nous est possible de tenter le voyage, que nous pouvons donner du coeur à l’ouvrage.

Ainsi, seul et concentré sur notre propre ligne de départ, ni besoin de marcher, de courir, il nous faut seulement choisir…

Choisir un itinéraire et décider pour l’heure,
si nous devons rester ?
partir ? ou tout simplement savoir juste revenir ?


RESTER ?

Sans faire de mal à personne, en ne bousculant pas ses habitudes, c’est peut être rester qui nous apparaît comme étant le plus facile. Faut il encore rester concentré, fidèle à ses engagements, à ses idéaux, sans connaître nul trouble, nul doute et nul tourment. Ainsi, le mieux est peut être de rester, pour éviter de souffrir ou faire souffrir les autres ailleurs… Mais quand on reste, doit on encore savoir pour combien de temps ? combien de jour ?… quand aurons-nous fait vraiment le tour ?

(Rester)… « avant l’amour »,

extrait du projet « Za7ie« , septembre 2010

A ce moment précis le mieux est peut être de partir…

PARTIR ?

Pour éviter l’insupportable, avant la haine, la peine et le dégoût, partir heureux… c’est peut- être ce qu’il y a de plus courageux. Faut il encore ne pas connaître de regrets, pouvoir se séparer pour éviter le pire sans, pour autant, avoir peur de ne pas découvrir le meilleur à venir. Toutefois partir permet aussi de recommencer, de rompre avec la passé, oublier l’avant en construisant l’après… Le tout est de savoir combien de temps va mettre ce passé pour nous rattraper ! Finalement, on ne se débarrasse jamais vraiment de « notre moi », en ce sens, le départ ne peut-il pas être reconsidérer ?

(Partir)… « avant la haine »

extrait de « Dans Paris« , écrit par Alex Beaupain

un film de Christophe Honoré (2006)

avec Romain Duris & Joana Press

En ce mois de septembre, s’il nous parait difficile de trancher entre rester et partir, c’est sans doute que notre logique, le fruit de notre intelligence nous invite à savoir tout simplement REVENIR : s’accrocher au coté rassurant de la continuité quotidienne, en ne s’enfermant pas pour autant dans un carcan d’habitudes. Avoir la force de se renouveler, de croire en l’inédit pour finalement se délivrer de tout choix cartésiens.
(… pour revenir tout est une question de temps…)

« Dis quand reviendras-tu ? » de Barbara

Ballet de Maurice Béjart


Inspiré par un souhait profond de renouvellement, le Zen News vous propose des saveurs au goût foncièrement différent :
  • Coté Zoom : Au coeur d’une rentrée communiquante, on rêve tous de rester, partir, revenir à la maison, mais quand domotique rime avec fantastique, connaissons nous vraiment l’avenir de la « maison communiquante » ?
  • Coté Coeur : En ce début de saison 10-11, il fallait donner une priorité à la culture, nous avons choisi de défendre un projet culturel ambitieux qui allie lieux de diffusion et de pratique, à la fois tourné vers les artistes et le public, tout en respectant l’histoire culturelle du Grand Projet de Ville (GPV : Bassens, Cenon, Floirac, Lormont) : c’est là toute la spécificité du futur Pôle Culturel et de Spectacles du Parc Palmer qui ouvre ses portes à Cenon, le 24 septembre.
  • Côté Com : La géolocalisation fait désormais partie de l’évolution numérique, quels risques pour l’exploitation des données personnels sur Internet ? (In « Stratégies », 26/08/10, n°1598, p.25)
  • Côté Doc : Difficile de savoir jongler avec les blogs, Twitter, Facebook et votre identité en ligne, pour vous y aider Thomas Parisot publie « Réussir son blog professionnel » (2ed, juin 2010). Un ouvrage simple et pratique qui aide à comprendre la mécanique de fonctionnement des blogs, leurs fonctionnalités, leurs apports et comment les intégrer au sein de votre paysage numérique.
  • Portrait du mois : Depuis le 23 août, il est le premier président de France Télévisions nommé directement par le chef de l’État – comme le prévoit la Constitution depuis la réforme de l’été 2008 – découvrons le programme de Rémy Pflimlin, ses objectifs et ses moyens.
  • Perspectives : profitons des Journées Européennes du Patrimoine pour « écouter l’architecture » ! Les 18 & 19 septembre, cap sur un projet de « concert promenade » qui permet l’affrontement, le dialogue et la rencontre entre culture et technique, musique et architecture.

En cette rentrée mouvementée

qu’importe que vous restiez, partiez ou reveniez

l’essentiel est d’être là, présent et concerné ! »

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4 août 2010
Août 2010
« Au coeur de l’happy hour »

« Au delà de l’esprit, adoptez la panoplie
Au coeur d’une liberté décomplexée,
osez profiter des parfums de l’été »
18h… la cloche sonne… Ça y est : l’école est finie !

Heureux de cette rupture brutale, nous sommes maintenant autorisés à faire de grands projets, donner vie à nos rêves les plus fous… avancer et laisser libre court à notre inspiration. Toutefois, pour pouvoir profiter de ce temps libre, dans le jardin extraordinaire qui nous est offert, il suffit pour ça d’un peu d’imagination.
N’est-ce pas finalement dans cet esprit de liberté,
que nous regardons arriver
la deuxième partie de ce si bel été ?

Attention ! Pas le temps de souffler qu’on est déjà attendu… Léger, tranquille et sans bagage, pourquoi doit on toujours lutter contre le temps ? on court au rythme de la trotteuse, on saute dans un taxi, on attrape un tramway, à vive allure nous frôlons le pavé… le tout pour arriver à l’heure, pour être le premier au non-lieu si convoité ! Là où nous pouvons enfin profiter d’une pose bien méritée, avec bonheur, plonger au coeur de l’happy hour.
18h, c’est peut être davantage qu’une simple « heure joyeuse », en devenant, seulement si nous le voulons, le souhaitons et y arrivons, un signe de ralliement.

Ce rendez-vous, cet horaire, ce temps, ce signe si singulier… C’est celui qui permet de respecter une tradition, celui pour qui nous courrons de tous les horizons, pour finalement nous évader d’une journée ordinaire.
C’est [18h] là, nous aide à nous transporter loin du quotidien ; le chasser en lui donnant un temps différent, une heure spécifique, celle du plaisir, être seulement là profiter d’un « apéro passager » :

Se retrouver en rond ou en carré,
avec des verres pleins, vides ou à vider,
de ceux qui s’entrechoquent aux rythmes effrénés
de blagues, d’actus, de peines ou de 1000 autres idées…

Soudain, de causeries en rêveries, le dernier verre vient vite à se vider, ce qui sonne rapidement la fin d’une réalité, ou le début d’une nouvelle course où tout peut à nouveau s’emballer.

Or, si l’happy hour ne dure souvent qu’un verre, l’été est lui aussi une saison éphémère,… A nous de savoir en profiter, se poser un instant pour pouvoir « vivre autrement ».
De même, si cette pause ne dure qu’un mois, le « Zen News » vous invite en terrasse, à vous de vous immiscer dans ces conversations du mois d’août :

« Éthique / Flashmob / Festival / Stromae / Université d’été des CAUE »

  • Zoom : Avant la rentrée, comprendre la nécessité de préciser ses engagements, une précision éthique pour s’investir au mieux dans l’action… ou comment répondre à une question morale, politique, professionnelle, personnelle voir intime.
  • Coté Veille : « Ça flashmob en 2010 » – en un clin d’oeil on prend d’assaut un lieu public, on se rassemble, on agit, avant de se disperser rapidement. Autant un exercice de com. qu’un exercice de style.
  • Coté Coeur : retour sur « Mimos », « Fest’arts » ou encore « Jazz in Marciac« , cet été à chacun son festival.
  • Portrait du mois : Stromae, que penser de ce nouvel ovni pop navigant entre hip-hop et électro avec un look de dandy bobo ? suivons ensemble sa leçon pour apprécier le nouveauté d’un son, du moins écoutons avant de formuler une opinion.
  • Perspectives : Nous vous invitons à laisser libre cours à vos envies contemporaines, celles qui donnent à voir toute la richesse de la Gironde d’aujourd’hui. Cet été, découvrez le tout nouveau journal du CAUE.
    – En préambule, « Cap sur les Universités d’Eté des CAUE » à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme 63) …

Bonne lecture

Non classé

6 juillet 2010
Juillet 2010
« … et si l’été venait tout apaiser ? »
# TOP /…6h30 levé / 7h10 petit déj / 8h30 voiture / 9h bureau / 9h30 pause café / 10h Conf de rédac / 11h RDV extérieur / 12h30 pause déjeuner / 13h10 phoning / 15h30 mailing / 16h « l’heure du thé »* / 17h COPIL n°23 / 18h communiqué de presse / 19h after work / 20h expo peinture / 20h30 dîner / 22h Ciné / 00h tea-time / 00h30 zapping / 1h45 bedtime /1h48 cocooning et lecture… 6h levé / 7h retard / 7h30 lavage express / 8h40 tramway / 9h30 ouverture de la boite mail / 10h15 veille presse / 11h10 café … /… /.. /.. # ______.

Un quotidien, une vie millimétrée, un éphéméride bien géré, un agenda ultra normé…, acceptons-nous vraiment ce type d’enfermement ?

Commun et tiède, tel que demain aussi bien qu’hier, le quotidien a souvent quelque chose de rassurant. Pourtant il a aussi un côté monotone, pour nombre d’entre nous qui pensons, à tord, que nous ne pouvons pas instaurer la fantaisie dans nos « modules de vie » sans surprise !

Vincent DELERM, « l’heure du thé« , au Bataclan en 2009.

* 16h sera toujours l’heure du thé,
une heure où tout peut alors déraper,
n’est ce pas un paradoxe du quotidien ?
Comme une partition de musique a sa coda, le chemin quotidien possède toujours de vertes prairies, des « zones de possibles », où rien n’est encore écrit : des lieux, des silences, des pauses, des espaces temps qui nous sont offerts, pour laisse libre court à notre imagination, pour composer sur le moment notre propre vision quotidienne.

« Give him the ooh la la » in « SO IN LOVE »,
André Manoukian & Friends, 2010

Si l’été nous invite plus facilement à entrevoir ces quelques « plages libres », remplissons les de « Ooh la la » ! … Réveillons-nous ! ! !

Osons donner plus de lumière à notre itinéraire de vie, plus de mouvement à chacune de nos actions. En les habillant d’autres choses, nos vies deviendront différentes. Sans pour autant changer notre existence, nous pourrons lui attribuer un sens différent, entre étincelles brillantes et quête d’harmonie.

Habiter par l’oisiveté de l’été, ivre de rien sans réelle motivation, entre l’envie et le dédain : découvrons un sommaire libre de tout programme…

Goutons à deux mois de pleine liberté,
à nous d’apprécier, de construire, de commenter le temps présent
pour enfin lui donner du sens !

Tété, « l’envie et le dédain » 2009
La vie est la même…

en fin d’après midi
les garçons font comme si
il y avait mieux à faire
que de s’asseoir par terre
Nous n’avons pas changé
nous attendons l’été
les mains arrières posées
sur le gazon coupé.
nous continuons à faire
difficile d’arrêter
le travail que l’on aime
que l’on poursuit toujours avec volonté

« La vie reste la même, intense et quotidienne,
différente en été… »
Non classé

9 juin 2010
Edito – juin 2010
« Apprendre à (re)garder les belles choses »
C’est reparti encore pour un mois… ? ! mais pourquoi ce sentiment de déjà vu, de lassitude… pourquoi voir le temps qui passe comme une suite ininterrompue, un interminable tic-tac, une succession continue, un fil d’événements que nous tissons encore et encore ?

Aujourd’hui, le fait d’être en juin (« au delà d’être bien » !!!), comporte une finalité particulière. Cette situation, par son essence, nous pousse aujourd’hui, à agir davantage.
Telle l’heure de la sortie, notion qui réactive irrévocablement nos souvenirs d’école, cette fin d’année scolaire nous invite à réécrire l’histoire d’une saison (2009-2010)
De même en finissant de boucler les derniers dossiers, ce début d’été nous oblige à migrer vers des paysages exotiques, à vivre sur un air de vacances : sac de plage, crème solaire, bob et paré haut… et seulement si on le peut, lâcher prise et repos !

Gaetan ROUSSEL « Les belles choses » & « Help myself »
extrait de l’album « Ginger« , 2010

Nous connaissons donc un moment propice au rangement, au renouvellement ou au changement, toutefois ces échanges ne doivent pourtant pas nous faire oublier les belles choses : en ce nettoyage de printemps, prenons le temps de la contemplation pour voler quelques instants et toujours pouvoir conserver des « jalons d’existant ».

Françoise HARDY « Tant de belles choses« , 2004Cela implique de ne pas avoir honte des erreurs du passé, et sans en avoir peur, savoir les expliquer. Souligner les bienfaits des souvenirs oubliés, et sans en être fier, savoir profiter de toute leur qualité.
L’essentiel est d’évoluer entre « bon » et « mauvais »
connaître la vérité, du moins s’en approcher,
et toujours avancer dans une étique juste…
en ayant une conscience qui parfois peut froisser
.
Axelle RENOIR, « Les jolies choses« , 2000
Autour des 24° Bordelais, le « Zen News » s’apprête à pouvoir profiter d’une pause méritée, pas une délivrance, juste un bain de jouvence, dans lequel il faut plonger en découvrant pour l’heure un programme doux et tempéré :

  • Zoom : entre format, marketing et architecture, à la découverte de « l’imaginaire de la ville« . Retour sur la conférence de la Communauté Urbaine de Bordeaux – « Bordeaux Métropole 3.0« , du 3 juin 2010. – en + / images d’architecture, exposition universelle -.
  • Portrait : espace réservé à un « philosophe indiscipliné » – Edgar Morin.
  • Coup de coeur : la création du quai Branly, une institution originale de Jean Novel, entièrement dédiée aux arts et aux civilisations d’Afrique, d’Asie, d’Océanie ou d’Amériques.
  • Veille doc. : un best-of personnel à l’occasion de la fête de la musique – ma sélection / mon expression.
  • Veille com : Retour sur la ‘nuit de la com’ de l’APACOM, le 8 juin 2010 à Bordeaux
  • Perspectives : Rendez vous à la prochaine journée du CAUE de la Gironde : « Architecture bois et développement durable au travers de la réglementation en urbanisme », le 24 juin à la maison des associations de Mérignac.

« On court vers quelques chose et on trouve autre chose,
on court vers quelqu’un et on se (re) trouve soi. »
Jacques SALOME. – « Si je m’écoutais, je m’entendrais« , 1990

Non classé

19 mai 2010
Mai 2010 : une veille culturelle instantanée…
C’est pas verbal
&
ça « mai(s) […] meuh ?? »
Si le « verbe » est remplacé par « l’action », comment traduire la réflexion (perçue comme une pensée que nous exprimons) ? Entre les images, les gestes, les sons, invitant bien souvent à l’action, il ne reste que la sensation qui permet l’émotion.
C’est pourquoi, « la veille du mois m’émeut » et s’apprécie dans l’instant…

  • Cow parade Bordeaux 2010 : Humour, messages, couleurs, diversité, richesse, générosité, esthétisme sont au cœur de ces œuvres d’art urbain, exposées au 4 coins de la ville pour le plus grand plaisir de tous du 7 juin au 14 septembre.
  • 06/05/10 – rentrant tout juste de la 4ème Petcha Kutcha Night, autant de témoignages, projets, inspirations, visions présentés… autant de prestations, shows, conversations de qualité (ou non préparée – sentiments d’inégalité – !)… l’architecture dans sa diversité, … le tout en 6 min 40 difficile d’y résister, sans aller jusqu’à la « mort », je pourrai bien en redemander ENCORE !
  • 07/05/10 – Pour cette fin de semaine, cap sur la Cité Frugès à Pessac : entre communication et sensibilisation – A chacun sa maison au coeur d’une « machine à habiter » souhaitée par Le Corbusier -1 concept, 4 types, 5 principes – principe de 1914 : la maison Dom-Ino, signifiant « Domus » (maison) et innovation, mais aussi « Domino », le jeu de combinaison.
  • 09/05/10 – Un week-end en AGORA – tous les deux ans, Agora met à l’honneur l’architecture contemporaine et la dynamique urbaine de Bordeaux avec ceux qui la créent, ceux qui la construisent et ceux qui la vivent.
  • 18/05/10 – Hier, Café Archi #8 – « Rendez vous à Meriadeck : halte sur la dalle » – Une utopie concrétisée d’une époque qui n’est sans doute plus trop la notre ; acceptation d’un mode de pensée : architecture, perceptions et usages, entre appropriation des représentations et réconciliation avec les lieux… Intéressant !

ET BIENTÔT…

  • 28/05/2010 : le lancement des Scènes d’été en Gironde : entre la chanteuse basque, Anne Etchegoyen, le groupe de rap, « Sans additif » et « Debout sur le Zinc »… Rejoignez nous cette année encore pour assister à la soirée d’ouverture des Scènes d’Eté 2010, à Captieux ! Talent, originalité et énergie vous y attendent pour donner le coup d’envoi de cet événement majeur du paysage culturel girondin.
  • 29/05/2010 – « Ensemble c’est tout » , Eysines en coeur de la mémoire vive, une mémoire qui rassemble – La volonté est d’amener chaque habitant, association, service municipal, à travailler ensemble autour d’un projet culturel. Cette année, il s’agit de vous rassembler autour d’un thème commun : la mémoire. Venez (très) nombreux !

« Le langage n’exprime pas tout de l’homme. »

« La pensée verbale n’est peut-être pas
la forme essentielle et ultime
de l’intelligence humaine. »
Sir Alister Hardy