Dans l'oeil de Chérie Coco

Chérie Coco : de l’art & du bio

31 janvier 2018

Elle, c’est ma doudou, comme on dit là-bas : ma Chérie Coco !
C’est aussi et désormais un nouveau rendez-vous sur la planète Zen News : Chérie Coco rime avec réseaux sociaux ! Mais pas que… Je l’ai retrouvé un soir d’hiver, au hasard des rayons d’une librairie, on osa enfin se parler. Notre discussion nous entraîna dans la rue, depuis on se suit, on se voit, on se perd parfois, mais on sait qu’on va se revoir. Même quand le temps nous compresse, nous oppresse, quand la course ne nous permet pas de nous arrêter pour nous voir, voilà qu’Esther m’envoie des cartes postales. Une relation épistolaire ? Non, non, plutôt un concours de pêche à la ligne ou de pige en ligne. Dans ces / ses  échanges on se retrouve, on nous retrouve. On passe de Chérie Coco à Chéri & Coco !
Notre amitié s’emmêle dans les fils de nos actualités et se mêle au fil des pépites du web. Au grès des pouces en l’air, des coeurs avec les doigts, voilà que j’aime ma Chérie Coco autant que ma Wando-Wanda.

TOP DÉPART #1
En 2018, prenons le rythme, le gris de janvier nous laisse entrevoir de l’art, du beau et du bio. Allumons nos écrans et ouvrons grands les yeux, il fait beaux sur nos réseaux sociaux.

Début janvier, en véritable précurseuse Marguerite Duras nous prédit l’an 2000
Loin du fantasme de Monopolis, nous voilà noyé dans l’information. Ça y est, seul au milieu de tous, nous voyons tout mais ne vivons plus. Il nous reste la mer et la lecture.

Mi janvier, pensons bio et promettons-nous déjà une chandeleur en mode detox.
Découvrons les green crêpes !

J’ai soudainement des envies de voyage. Mais j’ai la flemme ! Alors, comment s’évader sans bouger de chez-soi ? Il suffit parfois de réveiller la Belle Endormie pour retrouver Bordeaux, la Belle Envolée : une ville perdue dans la tournante de mouvements poétiques.

En cette fin de mois, arrêtons-nous pour explorer nos signes intérieurs de richesse. Chantons « cet air » exprimant la nostalgie d’un Paris et d’un Bamako qui n’existent plus, d’une légèreté qui a disparu, d’un avant et d’un après. Mélancoliques et heureux, redécouvrons M dans « Lamomali » et célébrons la vie dans sa fragilité. Evidemment, impossible de ne pas saluer le virtuose de la kora Toumani Diabaté et la grande chanteuse Fatoumata Diawara.
NB) Dernière minute, le vendredi 9 février : L’Album Lamomali de -M-, Toumani Diabaté, Sidiki Diabaté et Fatoumata Diawara a reçu le prix du meilleur album de musiques du monde aux Victoires de la Musique 2018.

 

 

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