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15 octobre 2007

Zoom d’Octobre : Image, Publicité & Communication

« La pub face à son image :
Reflets de com & image de soi »

La communication et la publicité construisent souvent une « image soicale ». En effet, toutes créations s’introduisent dans un contexte, une époque et une tendance particulière, en décrivant ainsi une facette de la société.

Or, pour Sylvain Parasie, sociologue, la publicité (et par extantion la communication) a toujours été critiquée. Cela semble liée à l’histoire culturelle et politique de la soiciété marquée par un fort développement des mouvements sociaux.
Cependant, avec l’arrivée des nouvelles technologies de l’information et un « changement d’époque » accompagné par Internet, la pblicité est devenue plus présente et commence à mettre son rôle en évidence, même si le grand public n’accepte pas encore sa logique marchande.
Alors comme nous le montre « 99F », une vision publicitaire reste ancrée dans l’inconscient collectif. L’homme et son image sont souvent critiqués et le communiquant hoscille souvent entre efficacité et culpabilité :
  • une efficiacité qui se retrouve dans les différentes stratégies et moyens mis en place pour développer un fort élan de communication dans tous les domaines proferssionnels.
  • une culpabilité basée sur une image réductrice du métier qui joue indirectement sur l’estime de soi. On perçoit alors le monde professionnel comme un lieu illusoir et notre rôle serait alors limité au service d’une « communication paillette manipulatrice ».

Après avoir établit un constat plutôt pessimiste sur la situation actuelle des communiquants,
Pouvons-nous vraiment affirmer
cette situation de mal-être professionnel ?

Tout est une question d’image de soi et de l’écart que nous souhaitons instaurer entre image voulue et image perçue.
La publicité comme la communication est un secteur où nous donnons souvent de nous (de notre « moi »). En retour, à travers nos prestations, c’est donc notre image qui est soit critiquée, soit adulée.
Or, si les communiquants ont conscience de la représentation sociale qu’ils véhiculent, ceux sont eux qui, par leur travail, peuvent ainsi la faire évoluer. En effet, cela reste possible si le professionnel répond à une éthique qui devient la ligne directrice de son image, en l’aidant à se connaitre, à savoir qui il est vraiment.
Toutefois, cette problématique d’image
ne doit pas déclencher un mal-être,
on peut aussi en rire :

« Un métier d’image met de l’importance
dans sa vitrine,
en communication, c’est le communiquant
qui est mis en avant ! »
Quoi de plus normal ?

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