à en avoir la tête à l’envers ! »
Musique de Richard M. et Robert B. Sherman
Paroles de Robert B. et Richard M. Sherman
Adaptation française de Christian Jollet
Interprétée par Pasquali (Merlin) et Jean-Dominique Maurin (Moustique)
Perdu dans les eaux troubles de la naissance, on pousse, on grandit, on s’accroche pour évoluer, on sort de notre cocon pour pouvoir se développer et s’affirmer.

Alors, tel un poisson vert, qui commence un drôle d’itinéraire – ne se faisant pas uniquement dans la douceur – il arrive que nous nous heurtions bien souvent aux eaux acclimatées d’une dure réalité… 
Ainsi, quand l’eau semble calme, les reflets de l’océan, troubles et mystérieux, laissent le petit poisson voguer vers des pensées et des émotions enfouies.La tristesse s’y dissout, l’eau devient larmes, évacuant le sel de l’amertume, indissociable à l’appréciation du bonheur…
Réalités, étonnements ou dénouements imaginaires,
juste une petite histoire à en avoir la tête à l’envers ?
Le programme du mois – habité par les vertus créatrices ou destructrices de l’eau – jaillit, glisse, ondule et se cristallise, en se réinventant à chaque instant :
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Coté Zoom : 2005-2010, pourquoi ne pas s’intéresser à la communication interactive et envisager Internet comme un flux d’eaux, d’informations et de contenus ? Ce même court d’eau continu qui ne cesse d’évoluer dans une presse spécialisée en dessinant alors des grandes tendances.
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Coté Coeur : entre deux eaux comme entre deux bandes rivales, les Jets et les Sharks nous entraînent dans une « West Side Story » en plein coeur du New-York des années 1950. Des chants, de la danse, une belle comédie musicale teintée de forts questionnements sociaux toujours actuels.
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Côté Veille : Au fil de l’eau comme au grès de la toile, découvrons « Atawad Communication, » une solution de conseil sur mesure née de l’ambition de Julie TRUFFERT, un réseau de compétences et une valeur ajoutée pour renforcer tous nos projets.
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Portrait du Mois : A celle qui chante que « nous sommes fait de l’eau passante et de celle passée » écoutons la diva britanique Kate Bush.
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Perspectives : le CAUE souhaite continuer à s’impliquer résolument dans ses missions. En avril, au coeur de son tout nouveau journal, il défend « le sens d’un engagement durable ».
Entre bruits d’eaux
et poisson vert,
une seule question :
« Est-ce la terre qui tourne
ou nous qui valsons ? »
In « Arrêtez le monde,
je voudrais descendre«
Théâtre Dromesko, création 2009 > Illustration : Evocation naturelle avec « Kagemi«
(autour des métaphores du mirroir),
la danse Butô des Sankai Juku en 2000.



Doit-on poursuivre et croire en la révolution interactive, celle qui nous invite via Internet et le web 2.0, à inventer un nouveau langage ?
Puisqu’il parait important de ne pas effacer le passé ou ne pas oublier son passé, autant lui trouver une utilité : c’est peut être lui qui peut nous aider à déclarer la paix ! Mais, quand on évoque un déclaration de paix, on pense souvent au conflit qui nous oppose aux autres, mais pas forcément aux difficultés qui peuvent nous éloigner de nous-mêmes. Ainsi, autant positiver, résister, tenir et rester digne, pour trouver dans son passé les clés de son histoire et composer seulement selon les avec les incidences des événements présents. Cela peut nous engager à répandre l’amour et si on est plus doué, peut être même retrouver sa paix !
Campagne Publicité. « Siemens – soyez inspiré.com« , 2001
mars 2010 : des visages, des figures,



En politique, s’engager, c’est choisir de donner un nouveau sens à son propre itinéraire de citoyen…

« Jeter son corps dans la bataille » a écrit Pier Paolo Pasolini.
« En face à face avec vous :
BORIS ZABOROV »Face à Face », 2005
« Partout…, défiant l’inventaire, qu’ils soient fabriqués ou qu’ils existent par eux-mêmes, les objets nous sollicitent et nous envahissent. »*
Le gigantesque pont en béton & bois orangé de « The Sequence« 


